Erin Kenneth | Tears in Heaven {Archived}

Erin Kenneth | Tears in Heaven {Archived} 29o07co

Erin Kenneth | Tears in Heaven {Archived} 24e880i

credits to ps-pbicons

« Time can bring you down
Time can bend your knee
Time can break your heart
Have you begging please
Begging please »

Identité
Identité

Nom : Kenneth. D'ailleurs, Erin et sa mère ont décidé d'un accord commun de garder le nom de leur défunt père et mari, bien que la mairie de San Francisco leur permettait de reprendre le nom de jeune fille de la mère, Bedingfield. La jeune femme préféra garder son nom original, en mémoire pour son père.
Prénoms : Comme toute fille unique née dans la typique famille américaine unie, la demoiselle Kenneth eut droit à une panoplies de prénom, ses parents allant puiser dans leur imagination pour lui trouver les plus loufoques possibles, criant aux langues pendues qui critiquaient leurs idées qu'ils s'agissaient d'originalité et d'affirmation de soi. C'est donc avec une véritable énumération de prénoms que la jeune femme fit son entrée dans le monde. Erin Bessie Myrtle Hazel Lottie figurent tous sur le certificat de la jeune femme, qui se clame fort chanceuse que ses parents aient décidés de placer Erin en premier. Non seulement cette simple combinaison de deux syllables est très jolie, l'éthymologie de ce prénom décrit un caractère identique en tous points à celui de la demoiselle Kenneth.
Surnoms : Puisque le prénom Erin ne se prête pas très bien aux diminutif (appelez la « Riri » une seule fois, et il s'agira de votre dernier mot), l'entourage de la jeune femme dû faire preuve de créativité pour lui trouver des sobriquets. Heureusement, quand vous avez comme meilleure amie une certaine Bambi Carmichael, vous pouvez être sûre que de cette amitié découlera bien des choses. Une de ces dites-choses est une véritable floppée de surnoms, certains nettement plus extravagents que d'autres. Donc en plus du « Erie », adopté par sa mère, la demoiselle Kenneth se fait appeler « Little E », en référence à sa petite stature, « Renee », une déformation subtile de son prénom ainsi que « Ray ». Les surnoms cités ci-dessus sont les plus courants, mais n'allez pas croire qu'il s'agit de tous les pseudonymes de la jeune femme. Il y a aussi « Dimples », pour ses petites fossettes, « Pebbles », en l'honneur de la petite fille dans les Flinstones, « CupCake », pour la véritable adoration d'Erin pour les petits gâteaux qu'elle vend chaque jour au Boudin Bakery, « Peachy », pour son teint de pêche et finalement « Pixie », qui était originalement le nom de la petite poupée préférée de la jeune femme. Et tout cela, c'est sans compter les innombrables déformation de son nom et de ses autres prénoms. « Kenny », « Ken », « Bess' », « Mymi », « Lolo ». En bref, vous n'êtes pas au bout de votre peine pour lui en trouver un original. Oh, et une dernière précision. Seul Timothy a le droit aux « Ma Princesse », « Chérie » et « Mon Ange ». Vous serez avertis.
Age : La demoiselle Kenneth affiche tout juste vingt printemps et ne vous en faites pas, elle a salué sa majorité comme il se doit.
Date & Lieu de naissance : Erin vit le jour le 25 Mars 1950, à San Francisco, en Californie.
Nationalité : Erin n'a que la nationalité Américaine, mais il est important de noter que la jeune femme à des origines anglaises et françaises par sa mère, ainsi que des racines russes du côté de son père, qui, bien qu'il soit né en Californie, est le fils d'un homme et d'une jeune femme originaies de Moscou.
Occupation : Passionnée par les arts, Erin eut le coeur en miettes lorsqu'elle se vit refuser une place à la San Francisco Public Library. Elle calma donc sa peine dans les petits gâteaux du Boudin Bakery, lorsqu'une jeune femme travaillant à l'endroit lui avertit qu'ils recherchaient du personnel pour la vente. La demoiselle Kenneth sauta sur l'occasion, et profite comme il se doit de la discompte des employés. De plus, elle étudie présentement en design de mode, ayant toujours adoré les créations de Cristóbal Balenciaga, dont elle porte les célèbres robes tuniques depuis 1955. La jeune femme continue aussi de dessiner et de peindre, s'amusant toujours à créer des tenues extraordinaires pour les protagonistes de ses oeuvres.

Si j’étais…

Un coup de foudre ?
San Francisco.
Fin de 1945, fin de six longues années de guerre.
Mais la paix n'était aussi éternelle que certains le pensait.

Susan Bedingfield se retourna rapidement, et sa pancarte l'ayant appuyée dans sa manifestation termina sa cause dans le visage du policier qui essayait de l'empoigner. Le carton, sur lequel était écrit en grosses lettres noires une protestation contre une certaine décision politique, déconcentra un rien le gendarme, avant de retomber lourdement dans une petite mare de boue. Profitant de cet instant de diversion, Sue s'élança vers la rue principale, empoignant la main d'un autre manifestant, John Kenneth, et tous deux se ruèrent vers le quartier général des manifestants, l'arrière-boutique du magasin d'antiquités. Malheureusement, à peine avaient-ils parcouruent quelques mètres qu'ils se retrouvèrent encerclés par les policiers, et c'est avec difficulté que ces forces de l'ordre réussirent à les installer derrière les barreaux, provisoirement, attendant la caution parentale. Ils étaient les premiers protagonistes d'une future génération de militants.

***

« SUSAN! » Sursautant au ton vociférant de son père, la jeune femme concernée s'éloigna du jeune John, de qui elle avait fait la connaissance durant ses quelques heures passées ensemble derrière les barreaux. Ils avaient même échangés leur numéro de téléphone, se promettant de se revoir un jour prochain, pour bavarder stratégie autour d'un café. « Tu ne peux pas savoir à quel point tu me fais honte, Sue! Qu'est-ce qu'une fille d'un homme à la tête d'une immense compagnie comme la mienne fait à protester dans la rue, accompagnée de gens peu recommendable? » La jeune femme ne répondit rien, et avec un dernier regard pour John, elle s'engouffra dans la sortie, précédée par son père, toujours rouge de colère.

***

« John, tu dois arrêter d'inquiéter ta pauvre mère comme ça! Elle est trop vieille pour que tu te permettes encore de batifoler, sans te soucier des conséquences. Il est temps que tu fasses quelque chose de ta vie, que tu épouses une fille bien et que tu aies des enfants pour nous aider à la boulangerie. » Hochant la tête, le jeune homme n'écoutait que d'une oreille de le préchi-précha de son père, son esprit étant entièrement embué par le souvenir de cette jeune manifestante qu'il avait rencontré ce jour-là.

***

Nerveux, John se frottait les mains, redoutant avec un certain excitement la déclaration qu'il avait à faire. Remarquant son anxiété, Susan lui sourit, et lui prit la main, son regard serein le calmant aussitôt. « Tout va bien se passer... » mumura-t-elle, si doucement que le jeune Kenneth seul pouvait entendre. C'est à ce moment que les parents de Susan firent leur entrée dans la salle à manger, prenant place aux extremités de la table exagérement longue. Respirant un grand coup, John se leva, et tout en priant pour que personne ne remarque qu'il avait renversé de la sauce sur la nappe, il prit la parole, sa voix secouée par l'émotion. « Monsieur Bedingfield, Madame Bedingfield, merci de me recevoir ce soir. » Il marqua une pause, mais comme le retour des bonnes grâces ne se fit pas, il enchaîna en se raclant la gorge. « Je suis venu ce soir pour vous demandez de bien vouloir m'accorder la main de votre plus jeune fille, Susan. » Levant un sourcil, à peine intéressé, le père de la jeune femme se contenta d'hocher la tête, et haussa les épaules en regardant sa femme qui tamponnait ses yeux avec une serviette. « Bon, c'est d'accord. »

***

Ce fut un mariage somptueux, avec des centaines et des centaines d'invités. Après la lune de miel, le couple Kenneth alla s'installer à San Francisco, pour y vivre la grossesse de Sue. Quelques complications virent troublées l'accouchement, et le couple apprient qu'ils ne pourraient plus avoir d'enfants par la suite, mais Erin naquit en pleine santé. La jeune Kenneth vécut une enfance normale, du moins, le plus normale que peut être une enfance lorsque les deux parents sont des êtres hippies, un rien décalés, vivant dans une maison où il n'y a pas de tables pour manger, que pour dessiner.

Un souvenir d’enfance ?
Jouant distraitement dans les longs rubans pourpres qui attachaient ses petites boucles chocolatées, Erin épiait les gens autour d’elle, les lèvres serrées. Il s’agissait de son premier jour à l’école, et les autres enfants n’avaient rien de l’idée qu’elle s’était faite du monde. Née six années plus tôt, elle avait passé sa jeunesse dans une maison où l’on dessine sur les murs et que l’on mange à même le sol. Tout ce qu’il lui avait été inculqué dans sa jeunesse n’avait plus de sens à l’intérieur de l’enceinte de l’école. On l’avait grondée pour avoir peinturé sur un mur un tourbillon de couleurs psychédéliques, et réprimandée lorsqu’elle s’était assise sur le plancher dallé pour savourer sa collation. Et tous ses autres petits camarades la regardaient bizarrement, eux étant parfaitement habitués aux chaises, aux tables. Résultat, elle était présentement seule, alors que les vingt autres enfants courraient en rang, s’amusant comme des fous. Alors qu’elle venait juste de dénicher un morceau de craie qui traînait, la demoiselle Kenneth entendit des bruits de pas venir vers elle. Elle leva les yeux sur une fillette, elle aussi brunette, qui la regardait avec un petit sourire.

« Pourquoi est-ce que tu dessines seule? »
« Parce que personne ne voudrait dessiner avec moi… Ils me trouvent bizarre », répondit-elle, en pointant d’un geste las le troupeau de marmots maintenant agroupés autour d’un petit chat qui s’était infiltré dans la cour d’école. Tous criaient, et se lançaient le chat, qui miaulait de mécontentement tout en mordant toutes les petites mains encore potelées qui se tendaient vers lui.

« Oh, mais moi je veux bien dessiner avec toi », reprit l’autre petite fille, qui s’assit face à Erin, croisant ses jambes. Elle prit un autre morceau de craie qui traînait, et elle vint compléter le dessin qu’avait commencé la demoiselle Kenneth, un arc-en-ciel dans un ciel sans nuage.

« Pourquoi tu n’es pas avec les autres, toi? »
« Moi aussi ils me trouvent bizarre. »
« Toi? Ce n’est pas toi qui mange par terre… »
« Tu manges par terre?! Chanceuse! Maman et Papa ne voudraient jamais! »
« Je ne suis pas si chanceuse, ils rient tous de moi. »
« Toi au moins tu y peux quelque chose… »
« Qu’est-ce que tu veux dire? »
« Ils se moquent de moi aussi, mais à propos de quelque chose que je ne peux pas changer. »
« Quoi donc? »

La petite intruse brune continua de dessiner un moment sans répondre à la question d’Erin. Elle semblait ne pas avoir entendu, ou alors, elle était maîtresse dans l’art d’ignorer proprement les questions qui l’embête. Haussant les épaules, la demoiselle Kenneth reprit elle aussi son dessin. Elles passèrent deux, trois minutes dans le silence le plus total, parfois interrompu par les cris stridents des enfants maintenant rendus en lambeaux à cause des griffes un rien trop aiguisées du chaton.

« Mon prénom. »
« Quoi? », demanda Erin, incertaine d’avoir bien compris.
« Les gens rient de moi à cause de mon prénom. »
« C’est quoi? »
« Bambi. »

Erin leva de grands yeux, fixant la dite-Bambi d’un air interrogateur. Elle se leva d’un bond, ses petites couettes virevoltant derrière sa tête, et tout en fixant encore l’autre fillette brune, secoua doucement la tête.

« Bambi…! »
« Vas-y, moque-toi, je suis habituée. »
« Ça alors… C’est le nom le plus… »
« ÇA VA! »
« Génial que je n’ai jamais entendu! Bonjour Bambi, moi c’est Erin. »

Les deux petites fillettes se sourirent, et Erin se rassit, finissant le dessin en ajoutant des papillons dans le ciel.

« Bambi, j’ai juste une petite question… »
« Oui? »
« Tu veux être ma meilleure amie? »

***

« Alors, si je rajoute un petit peu de brillants, tu crois que ça va être mieux? »
« Je ne sais pas… Essaie donc de remettre un peu de bleu là. »
« Ou ça? »
« Juste là… »
« Oh! Tu as raison, ça donne trooop bien! »
« Et les rubans? On en rajoute ou pas? »
« Je ne sais pas… On en a déjà beaucoup, mais il reste le mauve que j’aime beaucoup… »
« D’accord, on rajoute le mauve, un rien de brillants, et c’est fini! »

Les deux petites demoiselles, à la tête bouclée brune, se penchèrent au-dessus de leur œuvre d’art, et commencèrent à y apporter les modifications sur lesquelles elles s’étaient mises d’accord. Tirant la langue pour se concentrer, Erin appliquait minutieusement les brillants ça et là, tout en faisant attention de ne pas en mettre trop au même endroit, pour ne pas surcharger.

« Tu crois que c’est bien comme ça? »
« Je ne sais pas… Il ne manque pas un petit quelque chose? »
« OUI! Mais quoi? »
« Mais quoi…? »

Les jeunes femmes, à peine âgées de sept ans, se levèrent, tout en gardant un œil sur leur œuvre, et en firent le tour tranquillement, l’observant sous toutes ses coutures. Elles fronçaient leurs sourcils sous l’effet de leur concentration extrême, et pinçaient leurs petites lèvres alors qu’elles se penchaient délicatement pour observer de plus près.

« ÇA Y EST! », s’exclama Bambi en pointant du doigt un endroit de leur œuvre qui semblait bien vide. Les deux fillettes sautillèrent sur place, satisfaites de la rapidité et de l’efficacité de leur fouille.

« Je sais, je sais, on devrait rajouter… »
« DU DORÉ! »
« DU DORÉ! », s’exclamèrent-elles d’une même voix.

Elles sautèrent sur leurs genoux, et se remirent à travailler. Elles appliquèrent du doré généreusement à l’endroit désigné, et une fois que leur tâche fut complétée, elles se relevèrent, et reculèrent contre le lit d’Erin pour observer le résultat.

« Ouah, c’est magnifique! »
« Tu l’as dis! Un vrai chef-d’œuvre! »

'Llow & bienvenuuuuue I love you

Bienvenue Lexibouille <333

Lexouiiiille I love you

Welcouume !!

Lexie

Contente de te retrouver I love you

Merciiiiiii Vaness'
Merci aussi Caraaaaaa

Maudinette!

Merci Eva

Moi aussi Marinette

(J'ai clairement battu le record du plus grand nombre de smiley '' '' dans un post )

Lexie à qui je vais de ce pas répondre en Mp I love you

'Ma Chérie dont la réponse à ce-dit Mp m'a tellement fait plaisir.

Erin Kenneth a écrit:: Merciiiiiii Vaness'
Merci aussi Caraaaaaa

Maudinette!

Merci Eva

Moi aussi Marinette

(J'ai clairement battu le record du plus grand nombre de smiley '' '' dans un post )

PTDR Eva?

Roooh flûte, je croyais qu'Eva était Hilary
C'est Mischa, hein?

Yep XD Hilary c'est Marina ou Browniz XD

C'est tellement typique de moi en même temps

Elles se retournèrent l’une vers l’autre, et avec un sourire, s’élancèrent vers la cuisine tout en hurlant des « MAMANS » stridents à travers les couloirs, entendus jusque dans la pièce où se trouvaient Madame Kenneth et Madame Carmichael, assises à boire le thé. Elles firent éruption dans la cuisine, renversant au passage un vase à fleurs, et sautèrent dans les bras de leur mère respective.

« MAMAN, MAMAN! Erin et moi avons fait une véritable œuvre d’art! »
« Pfff, le mot est faible! Vous allez voir, c’est magnifique », compléta Erin, avec un grand sourire. Depuis un an déjà, Bambi et elle étaient inséparables, et se retrouvaient chaque soir dans la chambre de la demoiselle Kenneth, alors que leurs mères partageaient un thé et quelques débats politiques.

C’est alors que dans un bruit de grelots que Minou, le chat d’Erin fit son entrée dans la pièce. Il s’arrêta au milieu de la cuisine, fixant tour à tour Bambi et son amie, leur jetant un regard noir.

« BAMBI! ERIN! COMBIEN DE FOIS NOUS AVONS VOUS DIT DE NE PAS DÉCOREZ MINOU! »

Les deux fillettes s’enfuirent de la cuisine en éclatant de rire, tout en prenant sous leur bras le petit chat, qui se débattait, inquiet à la perspective de se retrouver de nouveau en compagnie des demoiselles.

Une manie ? Erin n'a non seulement une multitudes de petites manies, mais aussi tics qui pourraient presque être interprêtés comme de véritables troubles obsessionnels compulsifs. Elle a une tendance à toujours tout compter, additionner, soustraire, multiplier et diviser. Le nombre de céramiques sur le carrelage de sa salle de bain, le nombre de livres par étagère sur sa bibliothèque (d'ailleurs, il doit être le même pour chaque étagère) et ainsi de suite. Aussi, la jeune femme se mordille souvent la lèvre inférieure, celle-ci se retrouvant souvent gercée, d'où découle une autre manie, celle de toujours se mettre et remettre du baume à lèvres. Elle est incapable, lorsqu'elle marche dans la rue, de mettre le pied sur la ligne du trottoir, la craque entre les deux dalles. Depuis que son père a fait l'erreur, lorsqu'elle était haute comme trois pommes, de lui dire qu'un monstre surgirait d'entre les dalles pour s'emparer de sa jambe si jamais elle faisait cette erreur, elle sautille aux dessus de chaque ligne, tellement habituée qu'elle n'a même plus besoin de regarder où elle met les pieds. Erin est quelqu'un de très tactile. Elle touche toujours à tout, prend les objets dans sa main, les replace symétriquement sur la surface de travail, caresse tous les tapis, touche tous les matériaux duveteux, etc. Heureusement, cela ne s'applique pas avec les gens avec qui elle parle. En effet, incarnation d'un paradoxe, si elle toucher à tout, elle déteste les gens qui doivent avoir un contact physique lorsqu'ils parlent, et n'hésitera pas à faire des gestes excessifs pour faire lâcher prise à son interlocuteur.
Un signe particulier ? Il n'y a rien de vraiment très particulier chez Erin, si ce n'est que de ses vêtements. La jeune femme est en effet une passionnée de la mode, et fait présentement des études en stylisme, dans l'espoir de pouvoir lancer sa propre ligne éventuellement. D'ici ce jour-là, elle se fait sa propre publicité en créant elle-même toutes ses tenues, des pieds à la tête. En fait, presque. Pour ce qui est des chaussures, elle emprunte celles de sa grand-mère et en trouve dans les brocantes qui se tiennent parfois. Voilà pourquoi elle n'est jamais habillée comme la mode de l'époque. Aussi, autre petit signe particulier, la jeune femme à toujours tendance à applaudir lorsqu'elle est un rien trop hystérique, c'est-à-dire, tout le temps.
Une expression ? En bonne petite hippie des années soixante-dix, Erin utilise quelques expressions propres au "slang terms of the 70's". Il n’est donc pas rare de l’entendre s’exclamer « Can you dig it? », ce qui signifie « est-ce que tu comprends? ». Aussi, elle abuse du « Far out », qui serait traduit comme « cool » ou « génial » dans les années 2000. Finalement, il n’est pas rare qu’elle remplace les termes « idiots » et « stupides » par « La La ».
Un sentiment ? Le bonheur, quoi d'autre? La jeune femme croit fortement en la philosophie d'Épicure, d'une vie austère et simple, la patience vis-à-vis des mots et la satisfaction des plaisirs des sens. Erin est convaincue qu'une vie réussie est une vie où l'on a réussit à trouver le bonheur, et par bonheur, elle entend profiter de chaque petits moments ou intentions au maximum, de toujours voir du positif, mais lorsque tout semble noir. Comme l'a si bien dit Épicure lui-même, «Il ne faut pas tant regarder ce que l'on mange que celui avec lequel on mange.»
Une qualité ? Erin posséde une intelligence très vive, douée d'une grande lucidité. Elle récuse sans complexe toutes les valeurs fausses ou artificielles. Elle va droit au but sans vous encombrer de fioritures. Sa curiosité éclectique la dote d'une approche humaine et, parfois, humaniste du monde. Elle a aussi la faculté de coller au futur, lorsque celui-ci se matérialise dans le concret, en s'intéressant aux découvertes modernes ou en s'adaptant aux techniques de pointe. Principalement portée vers l'avenir, Erin est souvent en avance sur son temps. Cela explique sa certaine indépendance et sa quasi-impossibilité à s'engager dans une aventure qui ne déboucherait pas sur le futur. La nature la doté d'une habileté extraordinaire. Son esprit d'invention et sa faculté d'aller au coeur des choses lui font faire souvent des miracles. Il est en effet dans ses habitudes de résoudre en un tour de main des problèmes qu'on croyait pratiquement insolubles. On pourrait penser que, pour elle, il n'y a jamais de problèmes, il n'y a que des solutions. Possédant un grand magnétisme, elle excelle dans l'art de plaire, de charmer, de gagner les sympathies, de négocier, de convaincre. Avisée, elle obtient très souvent ce qu'elle attend des autres. Ayant le sens de l'humour très développé et le rire facile, elle refuse de prendre quoi que ce soit au tragique et cherche obstinément à envisager le côté drôle de la vie. Il est jamais ennuyeux de vivre avec elle, d'autant plus qu'elle est tolérante et compréhensive.
Un défaut ? Il est bien peu de choses qu'elle prend réellement au sérieux. Elle aime se moquer de tout et de tous, et surtout de d'elle-même. Chez elle, la tendance à la désacralisation est la règle plutôt qu'une exception. D'aucuns pourraient penser qu'elle est fantasque, mais en réalité elle est résolument originale jusqu'à l'extravagance : elle est insensible au qu'en-dira-t-on et n'a pas peur de rester elle-même. Son non-conformisme frise parfois l'insolence ou le je-m'en-fichisme. Elle ne fait nullement partie de ceux qui se battent ou meurent pour des principes. Elle n'a qu'un souci : vivre comme bon lui semble, en subissant le moins de contraintes possible et en profitant au maximum de la vie et de ses imprévus. Si on l'accusait d'être immorale avec une conscience extensible, elle se défendrait en disant qu'elle n'est qu'amorale. En société, elle a tendance à se lier trop facilement, à accorder sa confiance à n'importe qui. L'amitié est pour elle une chose sacrée, et elle la cultive avec assiduité et dévotion. Mais elle devrait apprendre à vous méfier de relations douteuses ou de faux amis, qui pourraient lui faire beaucoup de mal...
Un moyen de se révolter ? Erin supporte les hippies, principalement depuis la mort de son père sur les champs de bataille au Viêtnam. Pourtant, elle ne veut pas adhérer à leur mode de vie et préfère vivre comme bon lui semble, sans contraintes. Elle n'a donc pas tendance à se réunir avec les autres adolescents de San Francisco pour se révolter, mais en l'honneur de son père, elle le fait au moins une fois par semaine. Elle rejoint les autres hippies dans un parc, et fait la fête en la mémoire de son Papa disparu. Elle chante, danse, s'essait à la guitare, bref, s'oublie un instant.
Une devise ? « Carpe Diem », une locution latine d'un poème de Horace, qui pourrait être traduite comme « Cueille le jour présent, en te fiant le moins possible au lendemain ». Erin est une jeune femme passionnée par le futur, qui ne cesse de bombarder Heaven, Timothy et tous ces autres gens des années 2000 à propos de leur mode de vie, des inventions qui leur facilitent la vie, ce genre de chose. En amour, elle refuse les relations frivoles sans importance et préfère s'engager dans quelque chose qui va mener à quelque chose. À un futur. Cependant, pour tous les autres aspects de sa vie, sans exception, elle ne fait que profiter du moment présent sans se soucier du suivant. Il est inutile de préciser que ce Horace était lui aussi épicurien; il s'agit simplement du baromètre de la vie de la jeune femme. Une vie rythmée sur les plaisirs et sur l'accomplissement d'un but. Le découverte du bonheur.
Une passion ? La vie. Erin est une demoiselle qui saurait se passionner pour tout, sans exception. Elle adore découvrir de nouvelles cultures, de nouveaux modes de vie et de les expérimentez. Très culturelle, elle adore les arts, écumant les galleries et les expositions. La jeune femme sait trouver de l'intêret dans tous les aspects du monde, et elle se passionne pour chaque petite chose qui croise son chemin. Il est inutile de préciser donc qu'elle a déjà pratiquer à peu près tous les sports et les instruments de musique. Une de ses passions récurrentes, une passion qui l'anime depuis longtemps, c'est la mode. Déjà à cinq ans, à peine, elle stylisait quelques tenues pour ses poupées de chiffon. Depuis, que ce soit des magazines ou ses propres dessins, l'Art de la Couture la passionne toujours autant.
Un secret ? Elle ne s'est jamais remise de la mort de son père, et ne se remettra sans doute jamais. Depuis sa rencontre avec Timothy, elle est beaucoup plus heureuse, mais il reste une part d'elle-même qui n'a pas fait son deuil, qui n'a pas suffisamment pleurée. Erin utilise son optimisme habituel pour éviter ses problèmes et refuse de surmonter la mort de son Papa de façon naturelle. Elle a essayé, pourtant, mais ça ne lui réussissait pas du tout. Elle a donc passé à autre chose, voilant ses problèmes derrière son sourire infatigable, et ne fait qu'espèrer que jamais personne n'essaira d'aborder le sujet avec elle, histoire d'éviter une nouvelle crise de larme non-voulue.
Un modèle ? Bien que ce soit la chose la plus cliché et habituelle à dire, le modèle de la jeune femme n'est nul autre que sa mère. Femme forte qui a su se libérer des contraintes de son époque, Madame Bedingfield est une belle dame avec un esprit aiguisé et un sens de la répartie sans pareil. C'est sa mère qui a montré à Erin tout ce qu'elle sait, comment se conduire avec les autres, comment agir en société, et comment rester forte, peu importe ce que la vie vous balance au visage.

Et vous ?

Avatar : La magnifique Leighton Meester

Pseudo : Généralement, on me connait sous le pseudo de Lexie.
Fille ou garçon ? : Jeune étamine travestie (traduction: Fille)
Votre disponibilité: À partir du 6 Avril, tous les soirs et fins de semaine. Sinon, d'ici cette dite-date, ma présence sera plutôt rare, mais je tâcherais de passer au moins deux fois dans la semaine, cependant, je ne pourrais rien vous garantir.
Comment avez vous connu le forum: Par la publicité sur Bazzart.
Quelque chose à rajouter ? Je vous aime les filles.

Terminée
(Je ferais les relations une fois qu'elles seront toutes réglées, j'attends moi aussi quelques Mps encore )

Je valide

Superbe fiche *total respect*